mardi 9 septembre 2008

science et islam / le corps humain





Le corps humain : une forteresse soigneusement protégée
Même dans un environnement parfaitement protégé, nous vivons en contact avec de nombreux micro-organismes. Si vous pouviez examiner au microscope la pièce dans laquelle vous vous trouvez, vous distingueriez clairement les millions de créatures qui cohabitent avec vous.
Ainsi, d’une certaine manière, l’être humain est une forteresse assiégée. Il va sans dire que pour protéger cette forteresse prise d’assaut un plan de défense est nécessaire. Les êtres humains ont été créés avec la protection dont ils ont besoin : ils ne sont pas sans défense face à ces ennemis. Dieu Tout-Puissant a créé pour l’homme un système de micro-défense, qui le protége contre toutes sortes d’organismes qui pourraient être dangereux.
Les diverses attaques sont comparables à des forces d’invasion qui auraient à traverser une première ligne de défense. Même si cette première ligne subit des revers, elle aura affaibli et ralenti l’ennemi.
Les forces de dissuasion qui attendent les micro-ennemis
Le premier front que "l’ennemi" doit traverser dans le corps humain est la peau.
La peau recouvre le corps entier telle une gaine et possède plusieurs caractéristiques.
L’une de ces caractéristiques fondamentales est sa capacité à protéger le corps contre des micro-ennemis qui pourraient rendre notre corps malade.
Si nous comparions le corps humain à une forteresse assiégée alors les cellules mortes de l’épiderme seraient les remparts de cette forteresse.
Un des moyens qu’utilisent les micro-organismes pour nous atteindre est la respiration. Nous respirons constamment des centaines de germes de différentes sortes qui se trouvent dans l’air. Cependant une "purification" s’opère dans les narines. Une sécrétion dans la muqueuse nasale capture et expulse entre 80 et 90% des micro-organismes infiltrés directement ou par la poussière, la vapeur etc.
Les germes peuvent également infiltrer le corps à travers les aliments. Une fois dans l’estomac, les défenses immunitaires par le moyen de différents acides, détruisent la plupart voire tous les germes qui ont réussi à arriver jusque-là. Les germes qui sont dans l’estomac sont détruits par des enzymes digestives produites par le petit intestin.
La vérité révélée par notre système de défense immunitaire
A la lumière de tout cela, d’importantes questions émergent.
Qui oriente les microbes vers notre corps ? Qui décide du circuit des aliments ? Quel genre de système peut détruire les microbes ? Quelle serait la prochaine cible des microbes s’ils échappaient à ces moyens de dissuasion ? Et comment agiront les microbes s’ils rencontrent une substance plus puissante qu’eux ?
Nos cellules n’ont jamais été à l’extérieur de notre corps, par conséquent elles n’ont jamais eu l’opportunité d’examiner la structure chimique des microbes flottant dans l’air que nous respirons. Alors par quel miracle savent-elles quelle substance sera apte à éliminer les microbes ?
C’est Dieu, le Maître des cieux et de la terre qui a créé un tel système de défense. Système jamais au repos qui protège le corps humain contre les microbes. Dans un verset, Dieu décrit Sa sagesse de création comme suit ;
C'est Lui Allah, le Créateur, Celui qui donne un commencement à toute chose, le Formateur. A Lui les plus beaux noms. Tout ce qui est dans les cieux et la terre Le glorifie. Et c'est Lui le Puissant, le Sage. (Coran, 59 : 24)
Le corps humain est comparable à une forteresse assiégée. Les défenses d’une forteresse attaquée sont parfaitement organisées. De la même manière, le corps humain est doté d’un édifiant système de défense.
Nous devons garder à l’esprit que le corps humain est désespérément et perpétuellement exposé aux microbes. Le fait que vous soyez capables en ce moment même de lire ce texte sans être affectés par les microbes vous entourant est du à des manœuvres du système de défense interne à votre corps inspirées par notre Seigneur Tout-Puissant. Il est également utile de noter que c’est également Dieu qui créa les germes et les virus pour nous rappeler notre vulnérabilité face à ces minuscules structures infiltrant nos corps, avec comme risque la maladie voire la mort.
Le corps humain est comparable à une forteresse assiégée. Les défenses d’une forteresse attaquée sont parfaitement organisées. De la même manière, le corps humain est doté d’un édifiant système de défense.

science et coran / enzymes



Des enzymes qui performent 36 millions de processus en une minute
Chaque seconde, un nombre incalculable de processus s’accomplissent dans les corps de tous les êtres vivants. Ces processus sont tellement fins et complexes dans toutes leurs étapes, que l’intervention de "super-régulateurs" est primordiale pour contrôler l’ensemble du système qui maintient l’ordre et accélère les événements. Ces organismes chimiques régulateurs dans le corps humain sont les enzymes.
Chaque cellule vivante contient des milliers d’enzymes, chacun prenant en charge des tâches bien précises, comme celles d’assister l’opération de copie de l’ADN, de décomposer les produits alimentaires pour en produire de l’énergie, et de fabriquer des chaînes de composés à partir de simples molécules.
Les enzymes sont produits par la mitochondrie à l’intérieur de chaque cellule. Ils sont constitués de protéines pour la plupart. Le reste est composé de vitamines et de substances apparentées. A défaut d’enzymes, aucune de nos fonctions vitales, de la plus simple à la plus complexe, n’aurait été possible, ou au meilleur des cas, aurait été tellement lente que tous les processus se seraient arrêtés. Dans tous les cas, le résultat serait le même : la mort. Nous n’aurions pas été capables de parler, manger, digérer ou même respirer. En somme, nous n’aurions pas été capables de vivre.
Le rôle le plus important des enzymes est d’initier, arrêter et accélérer différentes réactions chimiques dans le corps. A mesure que les cellules effectuent leurs fonctions dans le corps, les produits chimiques dans les cellules doivent réagir en conséquence. Des températures élevées sont nécessaires pour initier la plupart des réactions chimiques. Encore est-il que de telles températures constituent une menace pour les cellules vivantes, pouvant les endommager ou même les tuer. La solution à ce dilemme réside dans les enzymes.
En vrai miracle de la création, les enzymes réussissent à initier ou accélérer les réactions chimiques même en absence de hautes températures. Pourtant, agissant comme catalyseurs, ils n’entrent pas eux-mêmes dans ces réactions, ni sont affectés par celles-ci. Prenons un exemple de notre vie quotidienne qui montre comment les enzymes accélèrent les processus qui s’accomplissent dans notre corps : on ne suffoque pas dans la respiration grâce à un enzyme impliqué dans l’élimination du dioxyde de carbone de notre sang lorsqu’on respire. Un enzyme connu sous le nom de anhydrase accélère le processus de nettoyage du dioxyde de carbone par un facteur de 10 millions de fois ! A cette vitesse, l’anhydrase peut transformer 36 millions de molécules par minute.
Les véhicules de production rapides et économiques du corps
Les enzymes permettent aux réactions vitales du corps de s’effectuer le plus rapidement possible, et permettent également d’exploiter l’énergie du corps de la façon la plus efficiente qui soit. Si l’on compare le corps humain à une usine, avec les enzymes travaillant dans ses cellules comme divers moyens de production, aucune source d’énergie n’aurait été capable de faire tourner cette usine, car le niveau d’électricité nécessaire pour alimenter électriquement des trillions de machines de 2000 différents types est colossal. De plus, en environnement de laboratoire, un niveau excessivement élevé de chaleur et d’énergie est nécessaire pour provoquer même la plus simple des réactions dans la cellule.
Pourtant, les enzymes travailleurs de la cellule accomplissent leurs tâches en silence et sans faille dans la température relativement basse du corps et avec l’énergie qu’ils obtiennent des éléments nutritifs. Juste une seule de ces caractéristiques est suffisante pour montrer comment les enzymes ont été spécialement conçus pour rendre parfaite et complètement efficiente chaque réaction ayant lieu dans le corps.
Au moment même où vous lisez ces lignes, un grand nombre d’enzymes contrôlent les réactions qui s’accomplissent dans votre corps et fournissent la nourriture et l’énergie dont vos cellules ont besoin pour rester fonctionnelles et en bonne santé. Bien que nous n’ayons aucune connaissance de tout ce qui se passe à l’intérieur de notre corps, les enzymes n’en sont pas uniquement conscients, mais ils interviennent dans tous les processus de la manière la plus vitale et la plus exacte qui soit. De plus, chaque enzyme accélère des réactions chimiques spécifiques dans le corps. Aucun enzyme n’effectue les tâches d’un autre, ni ne se trompe dans ses propres tâches, car chaque enzyme est spécialement planifié pour accomplir sa propre tâche.
Par exemple, bien qu’un grand nombre d’enzymes puisse être efficace dans des fluides avec un pH neutre, les enzymes responsables de la digestion des aliments dans l’estomac ne peuvent travailler que dans un milieu hautement acide. Encore, la salive contient l’enzyme amylase, qui décompose l’amidon en maltose et accompagne les aliments dans l’œsophage, mais il est neutralisé quand il atteint l’environnement acide de l’estomac. Par contre, lorsqu’il arrive à ce stade, il a dans tous les cas déjà fait son travail.
La compatibilité clé-serrure des enzymes
Les formes moléculaires des enzymes sont en complète conformité avec les substances sur lesquelles les enzymes sont censés agir. Chaque enzyme, ainsi que la substance qu’il affecte en se combinant avec, se combinent parfaitement ensemble en une géométrie tridimensionnelle très complexe. La manière dont les enzymes détectent la substance sœur, se dirigent vers et se combinent avec elle relève d’un comportement excessivement délibéré. Par ailleurs, les enzymes ressemblent à des chasseurs avisés, dans la mesure où ils se mettent à l’affût, se fabriquant un abri dans lequel ils peuvent se cacher, et où ils restent prêts à se combiner avec la substance correspondante. Chacun reste au bon endroit qui correspond à sa conception et à ses caractéristiques. Ils évitent les environnements où ils risquent de se faire nuire ou de devenir ineffectifs.
La manière dont ils assument la responsabilité d’initier ou d’accélérer les réactions chimiques donne matière à réfléchir. A moins qu’un certain agent ne soit présent pour les en empêcher, différents enzymes initieront et accéléreront en permanence toutes les réactions chimiques dans le corps. Cela pourrait mener en fin de compte à une surproduction de certaines protéines ou à la création de déséquilibres nuisibles dans la cellule. Par conséquent, c’est la cellule elle-même qui contrôle l’activité des enzymes. Quand une cellule décide qu’un enzyme doit arrêter son activité, elle le distrait avec un acte extraordinaire consciemment planifié. Pour faire cela, elle envoie à l’enzyme une substance similaire à celle avec laquelle il se combine usuellement, et l’enzyme s’attache à cette substance. Par conséquent, cette substance imitative "occupe" l’enzyme pendant un certain temps, l’empêchant ainsi d’entreprendre des activités non désirées.
Toutefois, pour piéger l’enzyme, cette substance d’imitation doit aussi entrer en compétition avec son homologue authentique. Cette inhibition de l’enzyme est par conséquent connue sous le nom d’inhibiteur compétitif. A l’aide de cette méthode, les activités des enzymes sont ainsi arrêtées jusqu’à un moment où une quelconque substance produite suite à la réaction déclenchée par l’enzyme chute en dessous d’un niveau spécifique.
Cette information ne doit pas être lue une fois puis oubliée. Tout d’abord, il est important de réaliser que ce sont des protéines, des graisses, des hydrates de carbone, et des vitamines, composés d’atomes inconscients qui font ces calculs complexes, qui prennent des décisions, et qui implémentent les plans décrits ci-dessus, et non des êtres humains formés et dotés de conscience et de sens de responsabilité. La cellule détermine la quantité de substance à produire comme si elle faisait un contrôle d’inventaire. Et quand elle décide que la production doit être arrêtée momentanément, elle implémente une procédure excessivement complexe pour le faire.
La façon dont la cellule produit la substance d’imitation qui sert à occuper l’enzyme et la libère au moment opportun relève d’un comportement hautement planifié.
Car si ces substances d’imitation existaient dans la cellule de façon permanente, elles auraient également arrêté la production par distraction des enzymes même au moment où ils sont le plus urgemment demandés. Mais le timing de la cellule est toujours parfaitement exact. Une telle forme de comportement intelligent et organisé exécuté dans l’ordre, l’un après l’autre par des molécules tellement petites qu’elles sont invisibles à l'œil nu est juste un des incalculables signes de la supériorité de la création de Dieu. De toute évidence, ces substances apparemment conscientes agissent sous les ordres de notre Seigneur.
Les scientifiques rejettent la revendication évolutionniste du hasard
Au fur et à mesure que des détails émergent sur la structure des enzymes, des protéines et d’autres structures similaires, l’invalidité de la théorie de l’évolution devient de plus en plus évidente. Ces structures des micro-organismes mènent les scientifiques, volontairement ou non, à accepter le fait qu’il existe une conception sans faille dans la vie.
Malcom Dixon fait partie de ces scientifiques :
Chaque minute, le système des enzymes fait ce que les chimistes sont incapables de faire même en travaillant à plein temps. Qui croirait que des enzymes survenant naturellement pourraient devenir conscients d’eux-mêmes et de centaines de leurs homologues par hasard ? Les enzymes et les systèmes d’enzymes sont des pierres de touche du même mécanisme génétique. Plus la recherche avancée progresse, plus la thèse de la conception émerge.
La structure des enzymes est trop complexe pour avoir émergé par hasard. Un fait exprimé dans les calculs probabilistes du fameux biochimiste Michael Pitman :
Comme nous le savons, quelques 1080 atomes existent dans l’univers et 1017 secondes se sont écoulées depuis le Big Bang. Deux mille enzymes de base sont nécessaires pour que la vie puisse survivre. La probabilité qu’un enzyme unique puisse émerger par hasard est inférieure à 10-20. La probabilité que tous ces enzymes puissent émerger par hasard est de 10-40000. Même si l’on considère l’ensemble de l’univers comme une soupe organique, il est encore impossible qu’une telle probabilité puisse se réaliser.
Comme l’ont affirmé ces scientifiques, il est impossible que même un seul enzyme puisse se former spontanément par hasard. De plus, 50 "pré-enzymes" travaillent ensemble pour produire un seul enzyme. Encore qu'un enzyme a besoin de neufs autres enzymes avant de pouvoir synthétiser un seul acide aminé. Cela soulève une question très difficile à n’importe quel scientifique raisonnable : comment le premier enzyme est-il venu à l’existence en l’absence des autres ? C'est une question à laquelle les évolutionnistes ne peuvent apporter aucune réponse.
En plus des problèmes posés par la production chimique des enzymes, ils ont une autre caractéristique extraordinaire : une fois les enzymes formés, ils peuvent facilement se dissiper par la suite ou devenir inactifs à moins que des conditions très précises soient maintenues. En d’autres termes, ils cessent de fonctionner jusqu’à et à moins qu’ils ne soient exigés.
En résumé, pour qu’un seul enzyme puisse fonctionner, tous les autres enzymes requis, cellules, systèmes et structures doivent déjà être en place, et parfaitement fonctionnels. Alors, comment le premier enzyme est-il venu à exister ? La réponse est évidente. Dieu Tout-puissant, le Créateur sans faille, a créé chaque être vivant et ses cellules en un seul instant, ensemble avec tous les enzymes et les protéines nécessaires. Ce fait est révélé dans le Coran dans le verset suivant :
Ô homme ! Qu'est-ce qui t'a trompé au sujet de ton Seigneur, le Noble, qui t'a créé, puis modelé et constitué harmonieusement ? Il t'a façonné dans la forme qu'Il a voulue. (Coran, 82 : 6-8)

islam et science / ADN





La Molécule Miraculeuse: L'ADN a abrisé la théorie de l'évolution
La théorie de l'évolution n'a pas pu fournir d'explication logique pour l'existence des molécules qui sont à la base de la cellule. En outre, les développements de la science de la génétique et la découverte des acides nucléiques (ADN et ARN) ont créé de nouveaux problèmes pour la théorie de l'évolution.
En 1955, les recherches sur l'ADN entreprises par deux scientifiques, James Watson et Francis Crick, ont ouvert une nouvelle ère dans la biologie. Beaucoup de scientifiques ont dirigé leur attention sur la génétique. Aujourd'hui, après des années de recherche, les scientifiques ont, en grande partie, tracé la structure de l'ADN. Nous devons, ici, fournir un peu plus d'information élémentaire sur la structure et la fonction de l'ADN:
La molécule appelée ADN, qui existe dans le noyau de chacune des 100 trillions de cellules de notre corps, contient le plan de construction complet du corps humain. L'information concernant toutes les caractéristiques d'une personne, de son aspect physique à la structure de ses organes intérieurs, est enregistrée dans l'ADN au moyen d'un système de codage spécial. L'information de l'ADN est codée dans la séquence des quatre bases spéciales qui composent cette molécule. Ces bases, sont nommées A, T, G, et C selon les initiales de leurs noms. Toutes les différences structurelles entre les gens dépendent des variations dans l'ordre de ces bases. Il y a approximativement 3,5 milliards de nucléotides, c'est-à-dire 3,5 milliards de lettres dans une molécule d'ADN.
Les données d'ADN concernant un organe ou une protéine particulière sont inclues dans certains composants spéciaux appelés les "gènes". Par exemple, les informations concernant l'œil se trouvent dans une série de gènes spéciaux, tandis que les informations concernant le cœur se trouvent dans une série de gènes tout à fait différente. La cellule produit des protéines en utilisant l'information qui se trouve dans tous ces gènes. Les acides aminés qui constituent une protéine sont définis par l'organisation séquentielle de quatre nucléotides dans l'ADN.
Un détail important mérite notre attention. Une erreur dans l'ordre des nucléotides composant un gène rend le gène complètement inutile. Quand nous considérons qu'il y a 200 mille gènes dans le corps humain, il devient plus clair qu'il est impossible que les millions de nucléotides composant ces gènes aient été accidentellement formés dans le bon ordre. Un biologiste évolutionniste, Frank Salisbury, présente ainsi ses observations sur cette impossibilité:
Une protéine moyenne pourrait contenir environ 300 acides aminés. Le gène d'ADN contrôlant ceci aurait une chaîne d'environ 1.000 nucléotides. Puisqu'il y a quatre genres de nucléotides dans une chaîne d'ADN, une chaîne ayant 1.000 liens pourrait exister sous 41000 formes différentes. En utilisant un peu d'algèbre (logarithmes), nous pouvons voir que 41000=10600. Dix multiplié par soi-même 600 fois équivaut à 1 suivi de 600 zéros! Ce nombre est complètement au-delà de notre compréhension.1
Le nombre 41000 est équivalent à 10600. Nous obtenons ce nombre en ajoutant 600 zéros à 1. Etant donné que 10 suivi de 11 zéros est égal à un trillion, une figure avec 600 zéros est en effet un nombre difficile à saisir. Prof. Ali Demirsoy, un évolutionniste, fut obligé d'admettre, à ce sujet:
En fait, la probabilité de la formation aléatoire d'une protéine et d'un acide nucléique (ADN-ARN) est inconcevablement petite. Les chances contre l'apparition d'une seule chaîne particulière de protéine sont astronomiques.2
En plus de toutes ces improbabilités, l'ADN peut à peine être impliqué dans une réaction en raison de sa forme spirale en double chaîne. Il devient alors impossible de penser que ceci peut être la base de la vie. D'ailleurs, alors que l'ADN ne peut se reproduire qu'avec l'aide de quelques enzymes qui sont en réalité des protéines, la synthèse de ces enzymes peut seulement être réalisée par l'information codée dans l'ADN. Etant donné qu'elles toutes les deux dépendent de l'une de l'autre, soit elles ont du exister en même temps pour la reproduction, soit l'une d'elles a dû "être créée" avant l'autre. Le microbiologiste américain Jacobson présente ses observations sur le sujet:
Toutes les instructions concernant la reproduction de plans, l'énergie et l'extraction de certaines parties de l'environnement actuel, l'ordre de croissance, et le mécanisme effecteur qui transforme les instructions en croissance - tout devait être simultanément présent à ce moment (quand la vie a commencé). Cette combinaison d'événements semble être une coïncidence incroyablement improbable, et a été souvent attribuée à l'intervention divine.3
La citation ci-dessus a été écrite deux ans après la révélation de la structure de l'ADN par James Watson et Francis Crick. En dépit de tous les développements scientifiques, ce problème demeure non résolu pour les évolutionnistes. Pour résumer, le besoin d'ADN pour la reproduction, la nécessité de la présence de certaines protéines pour la reproduction, et l'exigence que ces protéines soient produites selon l'information qui se trouve dans l'ADN, démolissent entièrement les thèses évolutionnistes. Deux scientifiques allemands, Junker et Scherer, ont expliqué que la synthèse de chacune des molécules exigées pour l'évolution chimique, nécessite des conditions distinctes, et que la probabilité de composer ces matériaux, qui ont en théorie des méthodes d'acquisition très différentes, est de zéro:
Jusqu'ici, on ne connaît aucune expérience qui permette d'obtenir toutes les molécules nécessaires pour l'évolution chimique. Par conséquent, il est essentiel de produire diverses molécules dans des endroits différents et dans des conditions très appropriées. Ensuite, il faut, pour la réaction, les porter autre part en les protégeant contre des éléments nocifs comme l'hydrolyse et la photolyse.4
Même si nous supposons pour un moment que les protéines, d'une façon ou d'autre, aient été formées accidentellement, cela n'aurait aucun sens, parce que les protéines ne sont, en soi, rien du tout: elles ne peuvent pas se reproduire d'elles même. La synthèse de protéines est seulement possible avec l'information codée dans les molécules d'ADN et d'ARN. Sans ADN et ARN, il est impossible qu'une protéine se reproduise. L'ordre spécifique des vingt acides aminés différents encodés dans l'ADN détermine la structure de chaque protéine du corps. Cependant, comme clarifié à plusieurs reprises par tous ceux qui ont étudié ces molécules, il est impossible que l'ADN et l'ARN se soient formés par hasard.
Notes1 Frank B. Salisbury, "Doubts about the Modern Synthetic Theory of Evolution", American Biology Teacher, Septembre 1971, p. 3362 Ali Demirsoy, Kalitim ve Evrim (L'hérédité et l'évolution), Ankara: Meteksan yay., 1984, p. 393 Homer Jacobson, "Information, Reproduction and the Origin of Life", American Scientist, Janvier, 1955, p.1214 Reinhard Junker & Siegfried Scherer, "Entstehung Gesiche Der Lebewesen", Weyel, 1986, p. 89
Par Yahya Harun







science et coran / l'oeil de la mouche





Secret de l'œil de la mouche

Ô hommes ! Une parabole vous est proposée, écoutez-la : ceux que vous invoquez en dehors de Dieu ne sauraient même pas créer une mouche, quand même ils s’uniraient pour cela. Et si la mouche les dépouillait de quelque chose, ils ne sauraient le lui reprendre. Le solliciteur et le sollicité sont [également] faibles ! (Coran, 22 : 73)
Un système optique peu coûteux, inspiré par la structure de l’œil de la mouche mène à l’invention de nouveaux appareils d’imagerie médicale.
Les bienfaits générés par l’utilisation des appareils d’imagerie magnétiques pour les diagnostiques médicaux et les thérapies sont incontestables. Les scientifiques israéliens travaillent actuellement sur le développement d’un nouvel appareil dans ce domaine. Ils espèrent que celui-ci, qui en est encore au stade de développement, offrira un avantage important sur les appareils actuellement utilisés : il sera beaucoup plus économique que la technologie d’imagerie utilisée dans les appareils existants déjà. Donc, si ce projet devient réalité, les gens auront l’opportunité de passer des examens plus fréquents. L’actuelle imagerie par résonance magnétique (IRM), ou la mammographie par rayons X, qui peut être préjudiciable, sont coûteux pour les raisons suivantes :
Pour pouvoir utiliser la lumière dans l’imagerie médicale, il faut que le petit nombre de photons (particules de lumière) qui sont émis par l’objet scanné soit perceptible. Ceci constitue un certain problème dans les appareils existants. Le tissu qui se trouve devant l’objet scanné provoque un bruit dans l’image en dispersant la lumière. Dans les méthodes actuellement employées, ce problème est résolu grâce à des cameras coûteuses, qui ont des obturateurs spéciaux, servant à bloquer le ‘’bruit’’ causé par la lumière qui a été dispersée par le tissu. Ceci augmente les coûts.
Joseph Rosen et David Abookasis, chercheurs à l’Université Ben-Gurion en Israël, proposent une nouvelle méthode. Les scientifiques rassemblent plusieurs images de l’objet scanné, et les montent de manière à produire une bonne image de l’objet. Ils obtiennent donc une image composée, et la lumière qui avait été dispersée par le tissu, autrement dit, le ‘’bruit’’ de l’image est alors éliminé. Ce "montage" représente une solution concrète aux difficultés rencontrées par les appareils existants. Cependant, le concept qui constitue la source intellectuelle à l’origine de cette solution de combinaison n’est pas un procédé inventé par l’homme. Au cours de la recherche de cette solution, les scientifiques ont été inspirés par ‘’l’œil composé’’ qu’utilisent les mouches depuis des centaines de millions d’années. En effet, ils ont intitulé leur recherche : ‘’Voir à travers les tissus biologiques, en utilisant le principe de l’œil de la mouche’’. (1)
En prenant la structure de l’œil de la mouche comme point de départ, les scientifiques ont préparé un ensemble de microlentilles, contenant 139 minuscules lentilles. Pour tester leurs idées, les chercheurs ont caché un os d’aile de poulet entre deux blancs de poulet. Ils ont ensuite éclairé un côté de la viande avec un laser optique de faible puissance, puis ils ont placé l’ensemble de microlentilles de l’autre côté. Les images captées par ces microlentilles furent transmises à un appareil photo numérique à lentille conventionnelle. Puis un ordinateur a éliminé la plus grande partie du bruit produit par la lumière dispersée, donnant ainsi une image plus claire de l’os d’aile qui avait été caché.
"Avec plus de microlentilles, et d’autres perfectionnements, il devrait être possible d’augmenter considérablement la résolution", déclare Rosen. "Avec des investissements pour approfondir le développement de notre système, ce dernier pourrait, d’ici un an, montrer les os dans la paume de la main, ou la racine d’une dent." (2)
Rosen déclare que cet appareil, qui reproduit le fonctionnement de l’œil de la mouche est prometteur. Et il annonce la bonne nouvelle qu’avec l’utilisation de ce nouvel appareil, les endoscopes inconfortables et les ‘’camera pilules’’ qui doivent être avalés, appartiendront au passé.
La structure de l’œil de la mouche
Une mouche se déplaçant dans l’air est formidablement agile. Elle peut changer de direction en un instant, réagissant au moindre mouvement dirigé vers elle. Elle peut choisir de se poser sur le sol, sur le mur ou de s’accrocher au plafond d’une pièce.
Le fait que la mouche possède un système visuel tout à fait supérieur y contribue beaucoup. Un examen minutieux de la mouche donne immédiatement une idée de la raison de cette agilité. L’œil de la mouche a une structure connue sous le nom d’ ‘’œil composé’’, qui lui permet de voir à travers un grand nombre de lentilles et avec un angle large.
Photo d’un œil de mouche prise avec un microscope électronique.

L’œil de la mouche se compose d’un grand nombre d’unités optiques. Chacune possède sa propre lentille optique, et produit un grand nombre d’images. Les circuits neuronaux de chaque unité prennent une image partielle, et on obtient alors une image plus nette que le fond couvert de parasites. L’œil de la mouche peut percevoir une vibration lumineuse 330 fois par seconde. De ce point de vue, il est six fois plus sensible que l’œil humain. (3) Il peut également détecter dans le spectre lumineux des fréquences d’ultraviolets qui nous sont invisibles. Ce système permet aux mouches d’échapper facilement à leurs ennemis, particulièrement dans les milieux sombres.
L’œil composé de la mouche est un organe de la plus grande importance, qui joue un rôle dans le système visuel, fonction vitale pour la survie de cet insecte. En examinant cet organe, nous pouvons voir des lentilles qui diffusent la lumière de manière particulière, à partir d’une surface concave. Cette surface offre un large champ de vision et concentre l’image vers un foyer unique. Les unités optiques qui se trouvent sur cette surface sont hexagonales. Grâce à cette forme, les unités sont contiguës. Ainsi, il n’y a aucun espace indésirable entre les unités, ce qui arriverait si d’autres formes géométriques étaient utilisées. La surface est ainsi utilisée de manière optimale. Bien que le fait que les rayons soient issus d’un grand nombre de lentilles, laisse supposer que l’image obtenue sera brouillée, ceci ne se produit jamais, et la mouche peut voir un large champ en une seule image.Il y a une conception supérieure dans l’œil de la mouche. Ce principe d’ingénierie, qui est utilisé par les humains depuis les dernières centaines d’années, est utilisé par les mouches depuis environ 390 millions d’années. Un regard plus global sur l’histoire naturelle montre que la structure de l’œil composé (chez les trilobites au Cambrien), remonte à près de 530 millions d’années.
Les mouches ont cette structure de l’œil depuis le jour où elles ont été créées.
A QUI REVIENT LA CONCEPTION DE L’ŒIL DE LA MOUCHE ?
La question soulevée est la suivante : les scientifiques imitent la structure de l’œil de la mouche en développant leurs appareils. Le fait que l’œil de la mouche soit utilisé comme source d’inspiration dans une technologie moderne est un signe évident de la supériorité de sa conception. On peut voir que les différents composants de l’œil de la mouche ont été arrangés ainsi dans un but bien précis. Comment, alors, la mouche s’est-elle dotée de cette structure ? Qui a arrangé tous ces composants de cette manière et a conçu l’œil de la mouche ?
Toutes ces combinaisons dans l’œil de la mouche montrent que cette structure a été accordée à l’insecte par un être ayant une intelligence supérieure. Il n’y a aucun doute que c’est Dieu le Tout-puissant, Le Seigneur des mondes, qui a créé la mouche, ainsi que ce système visuel parfait. Cette création supérieure chez la mouche est un signe de l’infini pouvoir de Dieu.
Dr. Harun Yahya
1- Joseph Rosen et David Abookakis, "Seeing through biological tissues using the fly eye principle", http://www.ee.bgu.ac.il/%7Erosen/fly_eye.pdf.2- Judy Siegel-Itzkovich, ‘’Fly’s-eye view shines a light on disease’’, New Scientist vol.181, no.2429 - 10 janvier 2004, p. 233- Dr. Julie Palmer, Université du Texas, Austin. http://www.esb.utexas.edu/palmer/bio303/group25/DROSOPHILA/compound_eye.htm









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Nous leur montrons nos signes dans les horizons et en eux-mêmes jusqu'à ce qu'il leur devienne manifeste que c'est la vérité. Ne leur suffit-il donc pas de savoir que Dieu est témoin de toutes choses? Coran, Sourat 41-Verset 53.



Équilibre dans l'arbre
Dans une étude sur les arbres les plus hauts du monde, les chercheurs de l'Université de l'Arizona du Nord ont révélé les facteurs qui contrôlent la croissance de l'arbre. (1,2)
L’arbre est une preuve concrète de la création divine. Les cellules qui le composent sont organisées de façon à former les racines, le tronc, l'écorce, les colonnes d'eau, les branches et les feuilles. Elles constituent les composants qui permettent à l'arbre de survivre en exécutant leurs fonctions nécessaires, et il y existe une division du travail systématique parmi ces composants.
Un arbre ressemble à une usine chimique géante. Des processus chimiques extrêmement complexes y sont accomplis dans un ordre impeccable. Il a été prouvé que les organes qui effectuent ces processus exécutent des calculs comme l’ordinateur.
Un des faits les plus saisissants concernant les arbres est que l'information, sur cette organisation et ce système, est chargée dans leur ADN alors qu'ils sont toujours des graines minuscules. La graine suit les instructions dans son ADN, et se transforme en structure géante avec laquelle rien ne peut se comparer en termes de forme et de dimensions. La façon avec laquelle une graine pousse des racines et se transforme en arbre, après qu'elle est semée et arrosée, est un signe clair de la création impeccable de Dieu.
La façon dont cet être vivant miraculeux arrête de croître après un moment déterminé fait partie de l'équilibre créé par Dieu sur terre. Si les cellules qui composent un arbre devaient continuer à se développer d’une façon incontrôlée, cela aurait eu comme conséquence la fin de la vie sur notre planète.
Dans le cadre des études élaborées pour déterminer la hauteur jusqu'à laquelle les arbres peuvent grandir, les scientifiques ont effectué une recherche sur les arbres les plus hauts du monde. Afin de trouver des indices, ils sont montés sur les sommets des arbres de plus de 100 mètres de haut, et ont pris des mesures.
Ils ont étudié les cinq arbres les plus hauts du monde, y compris le grand acajou géant de 112,7 mètres (Sequia sempervirens), connu comme l'arbre le plus haut de la terre et dont la taille est similaire à celle d'un bâtiment de 30 étages.
Précédemment, les scientifiques pensaient que le facteur principal déterminant la taille d'un arbre se trouvait dans les tensions mécaniques de la hauteur. Cependant, ils avaient compris que les arbres possédaient une structure capable de surmonter ces tensions. Ce qui les a poussés à concentrer leurs recherches sur l'effet de la capacité de l'eau à monter. Dans l'étude en question, exécutée par une équipe dirigée par George Koch, écologiste de l'Université de l'Arizona du Nord, des découvertes dans cette voie ont été obtenues. Les études effectuées par les chercheurs, tantôt dans un environnement naturel tantôt dans des conditions de laboratoire, ont révélé que le contrôle principal de la taille maximale de l'arbre existe, en effet, dans l'alimentation en eau de son sommet.
L'eau s'étend aux cimes des arbres par voie de transpiration. Autrement dit, par l’évaporation à travers les pores sur la surface des feuilles. La transpiration amène l'eau à la plante par le biais des racines, et la monte jusqu'au sommet par les cellules du tissu xylème conduisant les eaux.
Ce mouvement de l'eau surmonte les forces de la pesanteur et du frottement, et l'eau continue à monter vers le haut en forme de colonnes. La force qui propulse l'eau vers le haut atteint son niveau maximal au sommet de l’arbre, au même moment où, ces forces qui s'opposent au mouvement de l'eau sont, elles aussi, à leur apogée. Les colonnes d'eau sont capables de résister à cette tension jusqu'à un certain seuil de fragmentation. Ce seuil indique le point auquel les bulles apparaissent dans la colonne d'eau et l'interrompent. Cette situation est connue chez les botanistes par "l'embolie".
Koch et ses collègues ont mesuré la tension maximale de la colonne d'eau aux sommets des acajous les plus hauts, et ils ont trouvé qu’elle était près du point d'embolie. Celui-ci est, en même temps, un facteur déterminant le degré de croissance de l’arbre. Trois autres facteurs ont été révélés dans l'étude.
L'eau atteignant les feuilles au sommet de l'arbre aurait, normalement, un effet propulsif sur la croissance cellulaire. Cependant, l'effet accru de la pesanteur et du frottement, au sommet de l'arbre, réduit la capacité de flux d'eau. De ce fait, les cellules sur le sommet sont petites et possèdent des murs épais. Ce qui explique que, sur les sommets, les feuilles sont petites et denses.
La densité de feuille atteint son niveau le plus élevé au sommet des acajous. Ceci indique que le développement de l'arbre est largement empêché. Ainsi, la densité croissante des feuilles au sommet de l'arbre représente un deuxième facteur contrôlant la taille.
Les feuilles petites et épaisses, au sommet des arbres, réduisent aussi la photosynthèse effectuée dans ces zones. Cet effet, qui abaisse la productivité de la photosynthèse, a été identifié comme le troisième facteur déterminant la taille de l'arbre.
Koch et son équipe ont aussi déterminé que le niveau du CO2, observé aux conditions atmosphériques ambiantes, dans des feuilles à 100 mètres de haut, était à son niveau le plus bas. Ceci a constitué le quatrième facteur : la limitation de la diffusion du CO2 ayant lieu au moyen de pores de feuilles.
Basé sur ces quatre facteurs physiologiques, les scientifiques ont cherché à calculer la taille maximale que l’arbre pourrait atteindre. Ils ont trouvé, comme résultat, que cette taille varie entre 122 et 130 mètres. Les autres observations, qui ont montré que les arbres poussent d’une moyenne de 0,25 mètres par an, ont appuyé cette idée.
Les facteurs limitatifs révélés dans cette étude sont d’une grande importance pour l'équilibre écologique. Pour récapituler en bref, les faits que :
"L'eau qui monte en opposition aux forces de la pesanteur et du frottement ne peut pas progresser après un certain niveau,"Les feuilles poussent plus petites et plus denses, "Il existe une réduction dans la productivité de la photosynthèse et,"La diffusion du CO2 nécessaire dans la photosynthèse chute à son minimum,
signifient que l'arbre ne peut plus croître après un certain point. De cette façon, l'équilibre naturel, provoqué par l'influence mutuelle de plusieurs facteurs vivants et non-vivants, n'est pas mis en danger par la croissance incontrôlée de l'arbre.
Vue de ce point de vue, cette étude constitue l'un des exemples de la façon dont les processus biologiques chez les êtres vivants soutiennent l'équilibre étendu de la nature, et la manière dont ceux-ci ont été parfaitement arrangés. Il ne peut y avoir aucun doute que chacun de ces facteurs est une cause qui s'est produite par la volonté de Dieu. Chaque phase, depuis la germination de la graine à la graine devenant un arbuste, l'arbuste un arbre, et l'arbre poussant jusqu'à un point déterminé, a lieu sous le contrôle de Dieu le Tout-puissant.
Chaque étape dans la vie de l'arbre, chaque activité concernant sa biologie, est une manifestation de l'infini pouvoir de Dieu.
Dans un verset du Coran Dieu expose :
Et quant au ciel, Il l'a élevé bien haut. Et Il a établi la balance. (Coran, 55 : 7)

science et coran / l'abeille



Réalité du miel dans le Coran

" [Et voilà] ce que ton Seigneur révéla aux abeilles : "Prenez des demeures dans les montagnes, les arbres, et les treillages que [les hommes] font. Puis mangez de toute espèce de fruits, et suivez les sentiers de votre Seigneur, rendus faciles pour vous. De leur ventre, sort une liqueur, aux couleurs variées, dans laquelle il y a une guérison pour les gens. Il y a vraiment là une preuve pour des gens qui réfléchissent. " (Sourate an-Nahl, versets 68-69)
Savez-vous combien le miel est important, cette nourriture produite par un si petit insecte et offerte à l'homme, par la grâce d'Allah ?
Le miel se compose de sucres tels le glucose et le fructose et de minéraux tels le magnésium, le potassium, le calcium, le chlore de sodium, le soufre, le fer et le phosphate. Il contient plus ou moins, selon la qualité du nectar et du pollen, les vitamines B1, B2, C, B6, B5 et B3. Outre ces composants, on trouve dans le miel du cuivre, de l'iode, et du zinc en moindre quantité, ainsi que plusieurs sortes d'hormones.
Tel qu'Allah l'indique dans le Coran, le miel est "curatif pour les hommes". Cette particularité a été confirmée par les scientifiques réunis lors de la conférence mondiale d'apiculture du 20-26 septembre 1993 en Chine. Il fut notamment question des traitements médicaux à base de dérivés de miel. Les scientifiques américains ont noté particulièrement les vertus curatives du miel, de la gelée royale, du pollen et des propolis (résine d'abeille) sur de nombreuses maladies. Un docteur roumain, qui prodigua du miel à ses patients atteints de cataracte, affirma que sur 2094 sujets 2002 se sont remis complètement. Des médecins polonais ont également noté pendant cette conférence que la résine d'abeille permet de traiter nombre de maux telles que les hémorroïdes, les problèmes de peau, les maladies gynécologiques, ainsi que d'autres désordres physiologiques.
De nos jours, dans les pays développés, l'apiculture et les produits d'abeille constituent un nouvel axe de recherche pour la science. Voyons ci-dessus d'autres qualités du miel :
Assimilation aisée : Contenant des molécules de sucre pouvant se transformer en d'autres sucres (par exemple le fructose en glucose), le miel est facilement assimilé par les estomacs les plus sensibles, en dépit de sa teneur élevée en acide. Il facilite le fonctionnement des reins et des intestins.
Contient peu de calories : Pour une même quantité de sucre donnée, le miel contient 40% moins de calories. Par ailleurs, il contient une grande teneur énergétique et ne favorise pas la prise de poids.
Fluidité sanguine : Mélangé à l'eau, le miel se répand dans la circulation sanguine en 7 minutes. Ses molécules dépourvues de sucre rendent le cerveau, premier consommateur de sucre, plus performant.
Supporte la formation de sang: Le miel fournit une partie importante de l'énergie requise par le corps pour la formation du sang, dont il facilite par ailleurs le nettoyage et facilite la circulation, qu'il règle. Il préserve également des problèmes capillaires et de l'artériosclérose.
Propriété bactéricide: On appelle "effet d'inhibition" la propriété bactéricide du miel. Des expériences ont prouvé que cet effet double lorsque le miel est dilué avec de l'eau. Il est très intéressant de noter que des abeilles nouvellement nées dans la colonie sont nourries avec du miel dilué par les abeilles responsables de leur surveillance - comme si elles connaissaient cette qualité du miel.
Gelée Royale: La gelée royale est une substance produite par des abeilles ouvrières à l'intérieur de la ruche. Elle se compose de sucre, de protéines, des graisses et beaucoup de vitamines. Elle est utilisée quand le corps est affaibli ou dans les problèmes provoqués par le vieillissement des tissus.
Il est évident que du miel, qui est produit en des montants beaucoup plus élevés dont les abeilles auront besoin, soit fait au profit de l'homme. Et il est également clair que les abeilles ne peuvent pas accomplir une tâche si incroyable "par elles-mêmes."

science et coran / eau et origine de la vie




Réalité dans le Coran: L'eau est l'origine de toute vie!
Dire que l'eau est à l'origine de la vie sur terre semble être évident pour une personne qui vit dans notre époque mais qu'en est-il pour les gens ayant vécu il y a 14 siècles: Biensûr, cette évidence n'existait pas à l'époque.
Par ailleurs, ce n'est qu'en 18ième siècle que l'eau a été analysée de façon plus au moins précise par le physicien Henry Cavendish, qui a illustré sa structure double (composé formé d'oxygène et d'hydrogène). Ensuite, avec le développement de la chimie et de la physique, des propriétés physico-chimiques de plus en plus caractéristiques ont été déterminées pour cet élément.
Pour les biologistes, l'eau semble constituer un centre d'intérêt particulier car elle rentre dans la composition de tout milieu vivant (l'homme ne peut vivre sans eau, les microorganismes du sol ne peuvent vivre sans l'humidité du sol, les cellules ( humaines ou animales) vivent dans un milieu aqueux...Ces cellules font constamment des échanges chimiques à travers leurs membranes entre le milieu externe, composé du sang et des liquides interstitiels, et le milieu interne des cellules, composé de diverses substances dissoutes dans l'eau.
En règle générale, les organismes vivants sont composés d'eau, puisqu'il y a de l'eau à l'intérieur et à l'extérieur de leurs cellules.
Arrivons maintenant à ce que est parole d'Allah.
Allah dit dans le verset 30 de la Sourat 21( les prophètes):Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et nous avons fait de l'eau toute chose vivante. Ne croient-ils donc pas?
Il est bien clair que la parole d'Allah reste sans commentaire. Une réalité scientifique qui ne demande pas de preuve....
Ce verset a été révélé il y a plus que 14 siècles pour un prophète analphabète qui est Mohamed que la prière et le salut
d'Allah soient sur lui.
Alors qui l'a informé de cette réalité si pointue à cette époque où la science n'avait pas encore découvert les celules nil leurs compostions......

C'est Allah qui nous montre ses signes dans les horizons et en nous-mêmes pour nous aider à croire en lui exalté soit-il!